Nous aurions plaisir à lire quelques lignes, de vous , que nous ne connaissons pas mais qui pourtant avez passé quelques minutes chez nous. Beaucoup de passages sur le blog, mais peu de commentaires, dommage ...ne soyez pas de simples consommateurs, écrivez nous!










mardi 28 octobre 2008

3eme leçon de 中文: les tons


L'importance du ton est fondamental:

pour une même sonorité le ton change tout le sens du mot.

le chinois standard compte cinq tons, l'un étant «neutre».
妈 :mā: «maman»
麻: má: «chanvre»
马: mǎ: «cheval»
骂: mà: «injurier»
吗: ma: «est-ce que?»

VISITE de la CHINE: Etape 3 Beijing, la capitale du nord

Beijing 北京 ou "capitale (jing) du nord (bei)" en chinois est une ville trois fois millenaire.



Beijing (Pékin) fait peau neuve, depuis l'an 1949, date de la fondation de la Chine nouvelle. Notamment à partir de 1978, année où le pays a décidé de cesser de se replier sur soir même pour s'ouvrier sur extérieur et pratiquer la réforme, ses changements sont si immenses que la ville est méconnaissable à ceux qui y ont véçu avant 1949. Et même, des Pékinois de souche s'égarent souvent en se rendant à autres arrondissements.
La découverte en 1929 à Zhou Koudian du fragment d'un crane de sinanthrope, alias "Homme de Pékin"(vivant avant 500 000 ans environ), prouve que la région était occupée dès l'époque fort reculée.
Cependant, la prospérité de Beijing prît forme en 1261, quand le Kubilay khan, empereur mongol, décida d'y installer sa capitale. La ville prît alors le nom de "Da Du" (la grande capitale). En 1403, l'empéreur Yong Le des Ming, fils de Zhu Yuan zhang, fossoyeur de la dynastie des Yuan, a décidé de transférer la capitale de Nanjing à Beijing.
Sous les Qing, Beijing restait la capitale jusqu'à la Révolution de 1911, qui mit fin à la dernière dynastie féodale en Chine. En 1949, la ville redevînt capitale sous la République populaire de Chine.
Beijing est également un centre touristique avec sa profusion de vestiges culturels et de monuments historiques qui l'ont rendue célèbre : le Palais impérial, le plus grand ensemble architectuel du monde, la Grande Muraille, la seule construction humaine visible de la Lune selon l'expression de Marco Polo, le labyrinthe de hutong, les pittoresques ruelles qui sillonnent le centre-ville, etc
Malgré les gratte-ciels qui poussent comme des champignons dans la ville, le charme de Beijing demeure intact : les artisans de la modernisation savent bien combiner harmonieusement les vertus de ses traditions millénaires et les avantages du modernisme. A n'en pas douter, cette ville aussi ancienne que moderne constitue un pôle d'attraction.


Palais Impérial

Le Palais impérial appelait jadis la "Cité interdite pourpre". La couleur "pourpre", symboliquement attribuée à l'étoile polaire, signifie qu'elle était un centre cosmique.

Grande Muraille

Totalisant 6 350 km, la Grande Muraille, appelée en chinois Wan Li Chang Cheng (la longue muraille de 10 000 li), serait la seule construction humaine visible de la lune.


Temple du Ciel Situé à l'est de l'avenue Tian Qiao Nan Da Jie, le Temple du Ciel fut construit en 1544 et achevé en 1558 sous les Ming. Il fut réaménagé au 18e siècle, sous le règne de Qian long des Qin.

Palais d'Eté

Situé en banlieue nord-ouest de Beijing, la plus pittoresque de la ville, le Palais d'été (Yi He Yuan) était une résidence impériale de plaisance sous les Qing.

Tombeaux des Ming


Dès la haute antiquité, les souverains de Chine avaient la coutume de faire construire à proximité de leur capitale-et généralement de leur vivant-d'imposants mausolées ou ils étaient inhumés après leur mort.

Place Tian An Men

Au sud de la Porte Tian An Men s'étend une grande esplanande, appelée la Place Tian An Men, sur une superficie de 440 000 m2 (500 m d'est en ouest et 880 m du sud au nord), soit 50 ha..

Temple des Lamas

Construit en 1694, le Temple des Lamas, appelé en chinois Yong He Gong (Palais de l'éternelle Harmonie), le plus grand et le mieux conservé des monastères de Beijing, est situé dans le nord-est de la ville, à proximité du Temple de Confucius et du Collège impérial (Guo Zi Jian).

Parc Beihai

Situé au nord-ouest du Palais impérial, le Parc Beihai (Lac du Nord), un jardin traditionnel impérial, se compose principalement d'un lac et d'une colline, sur une surface de 68 hectares, dont 39 ha sont occupés par les eaux.




dimanche 26 octobre 2008

Des conférences à la maison de la CHINE de Paris.

Sur le site de la maison de La Chine de nombreuses conferences pour le mois de novembre qui se profile :
En voici quelques themes :
ConférenceLe 10/11/2008 à 18H30
HYBRIDATIONS A LA SOURCE DE L'ART JAPONAIS
Danielle Elisseeff - chercheur à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences sociales, est professeur à l'Ecole du Louvre. Auteur de "Hideyoshi, bâtisseur du Japon moderne", Fayard. Chacun sait combien la culture japonaise s’est nourrie aux sources chinoises, de l’utilisation des sinogrammes (en soi aberrante eu égard à la nature linguistique du japonais) aux données philosophiques (entre poids du bouddhisme, du confucianisme et du taoïsme). Nul pourtant ne remet en cause la puissance et l’originalité des formes d’art développées dans l’archipel : en effet, les artistes japonais, loin de se conduire en « bons élèves » du continent, ainsi qu’on les perçoit parfois à tort, ont toujours pratiqué avec talent et jubilation l’art et les artifices à la source de toute vie, celui et ceux de l’hybridation.

Le 14/11/2008 à 18H30LE SUD-OUEST DE LA CHINE Accompagnateur - La Maison de la Chine

Le 24/11/2008 à 18H30LA CONSTRUCTION D'UNE SOCIETE HARMONIEUSE : ENJEUX ET DEFIS

Vous en saurez plus et connaitrez les tarifs en vous connectant directement sur le site de la Maison de la Chine: http://www.maisondelachine.fr/
adresse: 76 rue Bonaprte
75006 Paris
tel: 01 40 51 95 00

Hmm, merci de me laisser un commentaire notamment si vous vous rendez à ces conférences pour nous dire si ela vous a plu...

vendredi 24 octobre 2008

Poême de Laura Li et texte de Fleur: 2 adolescentes du Quebec adoptées en Chine

你好

Sur le site e l'AFQA (Asso familles parents Quebec-Asie
(cf http://www.afqa.org/chroniques.php?type=8 )
on peut lire notamment des témoignages du ressenti d'enfants adoptés en Chine:

Ici un poême de Laura Li pour sa mere biologique

Maman Au pied d’un escalier
Tu m’as laissée
Une nouvelle maison
Un long voyage en avion
Une famille m’a accueillie
Une famille avec qui j’ai grandi
Une mère, une grand-mère
Un père, un frère
Je dois te parler
Même si tu m’as laissé
Je veux connaître mes racines
Je dois apprendre mes origines
Je te dois ma vie
Je dois te remercier
J’ai une vie réussie
Je t’ai tout pardonné
Tu dois savoir
Je ne veux pas te décevoir
Avant de quitter
Merci de t’être sacrifiée
Je veux te voir
De l’autre côté du miroir
Voir en quoi on se ressemble
Pouvoir rire ensemble
J’arrive maman
Je n’en ai pas pour longtemps
Après toutes ces années
Je vais enfin te parler
J’avais le cœur brisé
Tu vas pouvoir le réparer
Avec ta tendresse
Il va sortir de sa détresse

Laura-Li


Texte de Fleur
Ce court texte, je ne le fais vraiment pas parce que j’en ai envie. Il y a des tonnes de choses beaucoup plus intéressantes à faire. Mais, je le fais pour faire plaisir à ma mère, parce que je sais que ce journal lui tient à cœur et que le fait que « sa petite poupée » écrive dedans lui fera chaud au cœur. C’est bien grâce à elle et à mon père que je suis ici aujourd’hui. Je leur en serai éternellement reconnaissante de m’avoir offert l’opportunité d’avoir une vie aussi merveilleuse. Lors de son retour de Chine pour m’adopter, ma mère s’est fait dire par un restaurateur du quartier chinois : « C’est comme si votre enfant avait gagné à la loto ! » Je suis totalement d’accord avec ça. Je suis extrêmement privilégiée et j’en suis consciente. À chaque année, des centaines de fillettes naissantes sont emmenées dans les orphelinats et pour beaucoup d’entre elles, pour la simple raison qu’elles ont eu la malchance de naître avec le sexe féminin. Plusieurs ont la chance d’être adoptées par des gens merveilleux dont le seul but est d’offrir à leur bébé la meilleure vie possible. Mais d’autres… peut-être, parce qu’elles ne sont pas assez belles ou bien simplement parce qu’elles n’ont pas de chance, restent à l’orphelinat. Plus tard, elles doivent quitter l’orphelinat et travailler… C’est horrible comme vie ! Ce n’est même pas comparable à la vie que j’ai présentement. J’ai les meilleurs parents du monde, des frères et sœurs que j’adore, des tonnes d’amis. Je vis dans deux superbes maisons avec chacune une piscine dans la cour. J’ai deux belles grandes chambres avec un lit double, j’ai plus de linge que j’en ai besoin. Je mange de supers bons repas, 3 fois par jour, bref, j’ai tout pour me combler. Qu’est-ce que je pourrais désirer de plus ? Rencontrer mes parents biologiques peut-être ? Eh bien, très franchement, non. Il est évident que, pour chaque personne, c’est différent, mais moi , je n’ai jamais éprouvé ce besoin. Même si quelqu’un m’arrivait, par exemple, en me disant qu’on avait retrouvé mes parents biologiques et que je n’avais qu’à prendre l’avion pour aller les voir, je refuserais. C’est peut-être un peu étrange direz-vous, mais pour moi, ce sont des inconnus qui n’ont jamais fait partie de ma vie. Je suis au Canada depuis l’âge de 3 mois, donc ma vie a toujours été ici. Je suis peut-être Chinoise physiquement, mais dans mon cœur, et jusqu’au plus profond de mon âme, je suis Québécoise. Jamais je ne me suis sentie différente ou à part. Mes parents m’ont toujours dit que j’étais la plus belle, la plus intelligente, la plus adorable et tout, donc rien pour baisser mon estime personnelle. Puis, à l’école, bien que j’aie fréquenté trois écoles différentes au primaire, je n’ai jamais eu de la difficulté à m’adapter et à me faire des amis. Je n’ai jamais été rejetée parce que j’étais Chinoise et je n’ai jamais non plus ressenti le besoin d’être entourée d’amis ou de gens de la même nationalité que moi. Je me suis toujours sentie à ma place. Merci à ma mère et à mon père. Je vous aime plus que tout au monde.
Fleur, 15 ans.

我爱你 Nina
妈妈

Rerouvez d'autres temoignages bouleversants sur le site de AFQA

mercredi 22 octobre 2008

Les métamorphoses d'une coquine

Et oui depuis notre attribution en octobre 2005 et notre rencontre qui a suivi, en novembre notre Nina a bien changée: mais regardez plutot.

Par cette composition je souffle beaucoup d'espoir aux parents en attente, et notamment à ceux qui attendent leur premier enfant.

mardi 21 octobre 2008

Princesse Nina, et son prince...non moins charmant!!!

你好
Ma princesse Nina, était triste ce matin, de peur de ne pas trouver un Prince pour se marier!!!







Je l'ai bien vite rassurée car je sais que cela est impossible, n'est-ce pas?
在建

lundi 20 octobre 2008

2nde leçon de 中文

VISITE de la CHINE: Etape 2 Guilin (Guangxi)


Situé dans le nord-est du Guangxi (cf carte colonne de droite du blog), région autonome Zhuang, Guilin est salué par beaucoup comme le plus bel endroit de Chine et est l'un des rendez-vous pour la plupart des destinations des touristes étrangers. Selon un dicton chinois populaire, "le paysage de Guilin est le plus beau du monde." Son galbe-calcaire hausse des tours et des eaux claires sont souvent en chinois des œuvres d'art. Ses nombreuses grootes fascinantes ajoutent à sa beauté naturelle. La ville de Guilin a été créée par la Dynastie des Qin en 314 avant JC comme un petit village sur la rivière Lijiang. Il est devenu de plus en plus important suite à la construction d'un canal pour rejoindre la rivière avec un autre plus au nord, en fournissant une liaison de transport avec le Yangzi. Favorisée par la disposition de ses eaux, la cour impériale pouvait ainsi envoyer de la nourriture à ses armées à l'extrême sud .




Becamguiling est restée la ville de la capitale provinciale de la dynastie Ming, jusqu'en 1914, c'est alors que la capitale a été transférée à Nanning. Depuis la fondation de la People's Republic, en 1949, Guilin a développé une industrie naissante, la production d'une variété de produits tels que les produits pharmaceutiques, les pneus, de machines, d'engrais et de la soie. A noter la profusion de la floraison des arbres d'accacia, qui ont une forte odeur sucrée, elle produit un certain nombre de spécialités, y compris le parfum, vin, thé, cannelle, et la médecine par les plantes. Il ya plus de 30 panoramas noté à l'intérieur des frontières de Guilin Peak. Parmi ceux-ci sont une colline à l'isolement permanent de noblesse dans le coeur de la ville, le Trunk Éléphant Hill, la ville symbole, ainsi nommée en raison de sa ressemblance à un éléphant qui boit l'eau de la rivière Lijiang .

Il ya deux grottes fantastiques dans le domaine -sept-rock-star grotte, qui tire son nom de l'arrangement de sommets qui entoure la structure ressemblant à des étoiles de la constellation de Grande Ourse, et Reed-Flute Cave, nommé d'après le roseaux de plus en plus autour de la bouche de la caverne. Ils contiennent tous deux de spectaculaires stalactites et de stalagmites. La ville possède aussi d'autres belles collines, telles que la Fubo Hill, qui est censé empêcher les eaux de la rivière Lijing, et Nanxi Hill qui est magnifiquement comme un écran géant. Un voyage en bateau de Guilin long de la rivière Lijiang présente l'une des plus belles excursions sur votre tour de la Chine. Le voyage en aval de Yangshuo offre 30 kilomètres de paysages à couper le souffle. Un des premiers points d'intérêt est la pagode bouchon Elephant Trunk Hill, ou Xiangbishan, utilisée depuis longtemps comme le symbole de Guilin. Un peu plus loin en aval, vous passerez, sur votre gauche, Baotashan avec une pagode de la dynastie des Ming sur le dessus. Est de l'état Chuanshan, ou la colline avec un trou. En venant à proximité de la gorge de Erlang, une immense falaise est en vue. C'est le fameux «Picture Hill" qui ressemble à des chevaux de couleurs différentes dans différentes positions. Sur la droite, après avoir passé l'image Hill, est Huangbu (Tissu jaune) Plage. Ici, la rivière est large et les flux de douceur. Sept pics gracieux sont assimilés à sept jeunes filles tranquille debout côte à côte. Le légendaire Xingping Wonderland commence ici.


L'ancienne ville de Xingping est aussi très celebre. La croisière se termine au marché coloré de la ville de Yangshuo.

samedi 18 octobre 2008

Long Message sur La Langue CHINOISE

我不说中文得很好 !!!!! ah ah ah !

Mais, pour commencer, disons d'abord que le chinois est une langue appartenant au groupe sino-tibétain divisée en deux grandes familles : les langues tibéto-karens et les langues hans, communément qualifiées de chinoises. Parmi les grandes langues han on regroupe :
Le mandarin, parlé par 720 millions de locuteurs, soit près de 70% de la population chinoise. C'est la langue officelle enseignée dans toutes les écoles. Elle est parlée dans tout le nord-est du pays, région linguistiquement homogène;

24 dialectes (en fait des langues), concentrés dans le sud-est du pays; ils sont tous très différents les uns des autres et aussi éloignés du mandarin que l'espagnol l'est du français.
Ces autres langues han se caractérisent par leur conservation des anciennes consonnes finales -m, -p, -t, -k. Les langues wou (wu) – avec celles parlées à Chang-haï et Wen-tcheou – ont conservé d'anciennes initiales sonores comme b̬, d̬, g̬, dz̬, etc. Les dialectes mandarins ont quatre ou cinq tons, tandis que les autres dialectes sont généralement pourvus de plus de tons.

. Les grands dialectes han sont les suivants :
Le cantonais (yué) parlé par 46 millions de locuteurs en Chine populaire, ainsi que 5 millions à Hong-Kong, 700 000 en Malaisie, 500 000 au Viêt-nam, 500 000 à Macao et 300 000 à Singapour ;
le wou (wu), 77 millions en Chine populaire, aux alentours de Chang-haï, 7% de la population continentale, il est en partie utilisé à la radio, le mandarin gardant un caractère plus officiel, puisque sur les mêmes stations c'est dans cette langue que sont lues les nouvelles ;
le hakka, 26 millions de locuteurs en Chine populaire, soit 2,5% de la population, 2 millions à Taïwan, 1 million en Malaisie, 640 000 en Indonésie ;
le min, 26 millions de locuteurs en Chine populaire, 14 millions à Taïwan, soit 75% de la population insulaire, 2 millions en Malaisie, 1,2 million à Singapour, 1 million en Thaïlande, 700 000 en Indochine, un demi million à Hong-Kong, un demi million aux Philippines ;
le Siang (Xiang) parlé par 36 millions de locuteurs dans le Hou-nan (Hunan).
Enfin, quelques langues non-hans sont également parlées en Chine ; parmi les plus importantes, il faut citer :


Le tibétain avec 5 millions de locuteurs en Chine ;
le ouïgoure parlé par 7,2 millions de personnes en RPC, principalement dans la province de Sin-kiang (Xinjiang) ;
le yi, en fait un ensemble de 20 langues, avec 5 millions de locuteurs. Le yi possède son propre système d'écriturenbsp;;
le tchouang (zhuang), parlé par 8 millions de personnes dans les régions autonomes de Wen-chan (Wenshan) et Kouang-si (Guangxi). Le tchouang s'est écrit en caractères latins avant que les autorités chinoises n'imposent récemment les caractères han.

La destinée et la propagation du mandarin doit beaucoup aux conquêtes des empereurs, et aux structures centralisatrices que tous imposeront aux pays conquis
Du point de vue linguistique, toutes les dynasties chinoises ont opéré une politique d'assimilation implacable en vue d'absorber les peuples de la périphérie de l'Empire du Milieu. L'administration centralisatrice et la grande autorité des mandarins assurent un grand prestige à la langue de ceux-ci basée sur le pékinois.

Le mandarin est aujourd'hui la langue officielle de facto de la République populaire de Chine; en effet la Constitution de 1982 ne mentionne rien en matière de langue officielle. Néanmoins, la Constitution dans son article 19 parle du pŭtōnghuà (langue commune) : L'État encourage, à l'échelle nationale, l'utilisation de la langue commune. Or, en 1956, le pŭtōnghuà fut défini officiellement comme la norme parlée, avec comme prononciation de référence, celle de Pékin. Cette langue commune est diffusée systématiquement à la télévision et à la radio.

En chinois de Pékin, il existe quatre tons : le ton uni ̄ ou 1, le ton montant ´ ou 2, le ton modulé ̌ ou 3, descendant puis montant, et enfin le ton descendant ` ou 4.
Ce qui frappe tout d'abord l'occidental dans l'écriture chinoise c'est le grand nombre de signes. Les plus récents dictionnaires en énumèrent plus de 60 000. Cependant un millier de signes couvre 90% des apparitions dans les textes typiques. Le système est ouvert, on peut composer de nouveaux caractères au gré de l'évolution de la langue qui invente sans cesse de nouveaux mots.

À l'origine du caractère chinois, il y a évidemment un élément de pictographie ; comme en Égypte ou à Sumer, l'écriture a commencé par des représentations figurées. Le dessin d'un arbre a servi à représenter le mot bois,une femme sous un toit désigne la paix, la tranquillité, enfin une femme et un enfant désigne ce qui est bon (好). Ce fond pictographique ne représente plus qu'une infime partie du répertoire de l'écriture actuelle.

Le Pinyin est le système officiel international de transcription du chinois depuis 1979, il fut créé à partir de l'alphabet phonétique zhuyin zimu de 1918 et des signes phonétiques (zhuyin fahao) de 1928. Il a été promulgué en 1958 par le conseil des affaires d'État chinois comme transcription officielle. Il utilise l'alphabet latin, avec un seul diacritique – le tréma –, il est fondé sur la prononciation de la langue commune pŭtōnghuà.

Quelques pistes de reflexion pour le japonais
Avant l’introduction des caractères chinois, qui commence au Ve siècle, le japonais ne possédait pas d’écriture. Jusqu’au XIIe siècle, les lettrés écrivaient en chinois, qui jouait donc un rôle similaire à celui du latin en Europe. Les caractères chinois, accompagnés de leur prononciation adaptée à la phonétique japonaise, furent importés en plusieurs étapes et à partir de différentes régions de la Chine (notamment du Sud). Cela explique qu’un même caractère puisse parfois avoir plusieurs prononciations chinoises (ou lecture ON). Le mot 下 (xià en chinois moderne), par exemple, se prononce à la fois ka et ge en japonais. Par contre les mots suivants n’ont qu’une seule lecture ON en japonais : 山 (shān en chinois) devient san et 手 (shǒu en chinois) devient shu en japonais. Avec un peu de pratique, le lien de parenté entre la prononciation chinoise et la lecture japonaise ON est souvent évident.
Au moment de l’introduction des caractères chinois (appelés hànzi en chinois et kanji en japonais), il existait évidemment des mots japonais équivalents. La montagne s’appelait par exemple yama. Le caractère 山, a donc aussi une prononciation purement japonaise (ou lecture kun). C’est pourquoi les caractères japonais ont généralement deux prononciations et souvent plus.


Si , tout comme moi, le sujet vous intéresse je vous conseille la lecture de ces pages:
http://alis.isoc.org/langues/iso639.htm
http://www.ramou.net/

谢谢

1ere leçon de Zhong wen 中文

Monastere Shao Lin (Henan) et Kung Fu ou Gong Fu

Origine de la boxe de Shaolin






Lesdémonstrations des bonzes, telles que l'appui renversé sur la tête, briser une pierre avec les doigts, couper un arbre avec la main et la gorge résitant au fer d'une lance, révèlent des techniques remarquables des arts martiaux chinois.2008-05-04 11:41:16.0杨嘉庆Origine de la boxe de Shaolin



La boxe de Shaolin retrouve son origine dans le temple de Shaolin, situé au pied du Mont Songshan dans la ville de Dengfeng, province du Henan, centre de la Chine. Les démonstrations des bonzes, telles que l'appui renversé sur la tête, briser une pierre avec les doigts, couper un arbre avec la main et la gorge résitant au fer d'une lance, révèlent des techniques remarquables des arts martiaux chinois. Les bonzes savent, presque tous, pratiquer la boxe, qui, pour eux, traduit d'une manière originale, l'esprit du bouddhisme.




Vers 527, un grand maître bouddhiste, Bodhidharma, arriva de l'Inde et propagea la doctrine du Grand Véhicule (Mahayana). Il créa l'école du Dhyana (méditation en sanscrit, chan en chinois) dans la région de Shaolin. Celle-ci se répandit plus tard dans toute la Chine, en Corée et au Japon. Selon cette école, la spiritualité bouddhique réside dans la nature des êtres vivants. Il suffit aux bonzes de nourrir cette nature dans la contemplation et non se livrer à la récitation des canons ou mener une vie d'ascète. Bodhidharma prôna l'application de la méditation et de la concentration, demandant à ses disciples de rester assis en tailleur face au mur afin de maintenir l'équilibre psychologique et communiquer spirituellement avec Bouddha. Hommes simples, ils se fatiguaient vite à garder la même position. C'est pourquoi ils créèrent une gymnastique destinée à se détendre. Ils associèrent les théories de la contemplation aux activités récréatives et sportives, et transformèrent la gymnastique en un wushu, une pratique de leur perfection. Telle est l'origine de l'école de la boxe de Shaolin.
Dans la pratique, on insista sur la perfection bouddhique, l'autodéfense et l'amélioration de la constitution physique n'étaient que secondaires. Même de nos jours, les adeptes de la boxe de Shaolin gardent autant d'attention à la perfection morale. Ils croient que leur réussite est déterminée par leur mentalité et leurs connaissances de cet art. Pour garder un équilibre psychologique, s'asseoir en tailleur reste un des exercices de base.



L'interaction entre le bouddhisme, le taoïsme et le confucianisme est à l'origine de la quintessence de la culture chinoise. La conception du monde de nos ancêtres regorgeait d'idées empruntées aux dogmes religieux, telles que la miséricorde, la bienveillance, la paix, la pureté, le non-agir, la fidélité et la piété filiale. C'est peut-être l'origine du “casse-tête chinois” des Occidentaux. Les films de Kung-fu chinois reflètent bien ces idées traditionnelles.
La boxe de Shaolin comprend plusieurs formes d'exercices : la boxe à mains nues, le qigong, le combat aux armes blanches, etc. Chaque exercice a ses propres formules. Bien que variées et mystérieuses, elles révèlent des caractères philosophiques et ingénieuses : association de la force et de la souplesse, du faux et du vrai, feintes d'un côté pour mieux attaquer de l'autre, simuler l'attaque et la défense, battre l'adversaire en suivant ses mouvements offensifs...La boxe de Shaolin, comme les autres arts martiaux chinois, a une influence croissante tant en Chine qu'à l'étranger.

Beijing Information

Une citation de Lao Tseu

La voie du Ciel : Vaincre sans lutter, convaincre sans parler, faire venir sans appeler, réaliser dans la sérénité.

La CHINE étudie la situation des orphelins

La Chine a initié une une enquête au niveau national au sujet des
conditions de vie des orphelins, afin d'améliorer les services sociaux
pour ce groupe particulier.

L'étude, organisée par le Ministère des Affaires civiles, a pour but
de déterminer le nombre d'orphelins vivant dans les villes et les
villages, comment ces enfants ont été abandonnés par leurs parents, et
dans quelle mesure ils sont actuellement pris en charge.

Les enquêteurs essaieront d'en apprendre d'avantage sur la situation
de ceux qui vivent dans les orphelinats et le prix moyen de leur prise
en charge; la situation des orphelins qui vivent de l'assistance
publique, et les conditions "basiques" dans les orphelinats d'état.

L'étude couvrira les aspects fondamentaux tels que l'éducation, les
soins médicaux et la rééducation, de même que les conditions d'emploi
et de logement lorsqu'ils grandissent.

Le ministère a enjoint aux autorités locales d'accorder une attention
particulière à cette étude, de dégager les problèmes existants et de
proposer des solutions pour les décideurs.

Le 28 octobre, les résultats rassemblés par les enquêteurs locaux
seront transmises au ministère.

Selon la dernière étude en 2005, la Chine comptait 573.000 orphelins,
soit 4,43 pour 10.000 personnes.

http://www.chinadaily.com.cn/china/2008-10/17/content_7117431.htm

Analyse de l'evolution de l'adoption internationale en CHINE depuis 1992 et ralentissements.

你好

Une analyse factuelle et sans concession de la situation de l'AI en Chine :

- de l'historique du programme, débuté en 1992
- au rôle des agences américaines
- en passant par l'évolution de l'encadrement législatif des
adoptions domestiques en Chine en 1999 pour tenter de les favoriser....

merci de lire sur le site de Brian STUY, un billet du mardi 14 octobre 2008
intitulé :
What are the problems in CHINA?

http://research-china.blogspot.com/


在建

jeudi 16 octobre 2008

Les Noms de Famille CHINOIS

Il semble que les chinois furent le premier peuple à utiliser des noms de famille, vers l'an 2852 av. J.-C. En occident, même au début du Moyen âge, les gens portaient seulement un prénom . Cette coutume chinoise des noms de famille aurait été mise au point par l'empereur Fu Xi (2852 av. J.-C). Pendant plus de 2000 ans les chinois utilisèrent deux catégories de noms: les noms de famille et les noms de clan qui étaient probablement à l'origine des noms maternels. Cette hypothèse est renforcée par les composantes formant le caractère utilisé pour les noms de famille. Il s'agit du radical qui signifie femme et de qui signifie donner naissance, donc "né d'une femme". Vers 260 av. J.-C les noms de clans furent délaissés et seuls les noms de famille demeurèrent en usage. Plus de 10000 noms furent ainsi créés à partir de différents thèmes: les dynasties, les territoires, les personnages historiques, les titres de noblesse ou encore des objets et bien d'autres sources d'inspiration 2. Un nom chinois moderne comptera donc le plus souvent trois caractères. Les chinois placent le nom de famille en premier lieu, suivi du prénom. Par exemple le président chinois Jiang Zemin est Monsieur Jiang et non pas Monsieur Zemin. Mais il arrive parfois que dans leurs rapports avec les occidentaux les chinois inversent cet ordre et donnent leur prénom suivi du nom de famille.Le nombre de caractères que compte un nom a évolué historiquement. À une autre époque les noms chinois étaient plus complexes et généralement composés de quatre parties. Le nom de famille précédait le prénom, lequel était suivi par l'alias et finalement le nom de style.Par exemple le célèbre Confucius portait le nom de famille Kong et le prénom Qiu qui a le sens de colline. Son alias étant Zhong Ni . Zhong signfiant le second fils d'une famille de trois et Ni provenant du nom de la colline Ni Qiu où ses parents ont prié pour sa naissance. Puis suivaient plusieurs noms de style qui lui furent attribués pour la plupart après sa mort.Une certaine tradition millénaire veut que la plupart des noms de famille chinois ne comptent qu'un seul caractère. Mais la réalité fait que quelques uns en ont deux, trois ou quatre. Ainsi chez la majorité Han (ethnie majoritaire en CHINE) on peut classer les noms et les prénoms en quatre catégories. La première catégorie étant la plus importante comprend les noms de famille ne comptant qu'un seul caractère et le prénom deux caractères. Avant 1966, environ 90% des noms chinois se retrouvaient dans cette catégorie. La seconde catégorie regroupe ceux dont les noms de famille et le prénom ne comptent qu'un seul caractère chacun. Une troisième catégorie regroupe le noms de famille comptant deux caractères et les prénoms un seul. Cette catégorie regroupe environ la moitié des noms de la jeune génération. Finalement, une quatrième catégorie rassemble les noms comptant quatre caractères, deux pour les noms de famille et deux pour les prénoms. Mais les tendance se modifie encore, une mode récente voulant que les parents nomment leur enfant en utilisant deux caractères identiques ou encore deux caractères différents ayant la même prononciation. On voit donc apparaître le Juan Juan, Huan Huan, Ling Ling et autres.Le nom de famille se propage de père en fils. Les femmes conservent leur nom de famille après le mariage. Comme il n'y a que quelques centaines de noms de famille chinois fréquemment utilisés, beaucoup d'entre eux se retrouvent avec le même nom de famille.
Il existe un documents célèbre le Baijiaxing ou "Classique des cent noms" écrit sous forme de rimes sensées représenter l'ensemble des noms de famille utilisés à l'époque de la dynastie des Song (954-1279) sous l'empereur Zhao. Le nom Zhao étant le premier mentionné dans ce manuel demeure l'un des dix noms les plus utilisés encore de nos jours. En réalité, le livre des cent noms en recense près de 500. Sous la dynastie des Ming (1368 -1644), un lettré en dénombra environ 3600 à partir de divers textes historiques. Une étude récente intitulé Zhonghuaxingfu en rapporte 6363. Par ailleurs selon Liu Doris, de nos jours on compte environ 3050 noms de famille en Chine. Mais 87 pour cent des hans qui regroupent 96 pour cent de la population utilisent environ une centaine de noms de famille. Ainsi les Li, les Wang et les Zhang regroupent environ 250 millions de chinois .

mardi 14 octobre 2008

VISITE de LA CHINE: Etape 1 LiJiang (Yunnan)

LIJIANG, ville classée "patrimoine mondial" par l'UNESCO.

Le fleuve Yangzi et le fleuve jaune sont connus pour être les plus longs de Chine. Située entre 99o 30'E et 100o 50'E, et 26oN et 27o 50'N, Lijiang peut aisément être repérée sur une carte en remontant le Yangzi depuis l'embouchure de Shanghai jusqu'à sa source. La vieille ville de Lijiang est un lieu de premier choix pour le voyageur et a été classée "Héritage Culturel Mondial" par l'UNESCO.
Le comté de Lijiang se situe dans le nord-ouest du Yunnan, au sud-est du plateau Tibétain. Il couvre une superficie de 20 600 km² et compte 1 030 000 habitants. Il comprend 4 cantons: Lijiang, Yongsheng, Huaping et Ninglang. Le climat de Lijiang est d'une agréable douceur, le printemps dure 241 jours et les étés sont doux. Située à 603 km de Kunming et à 280 km de la gare férroviaire de JingJiang (sur la ligne Kunming-Chengdu), la ville de Lijiang a également inauguré un aéroport en 1994.


La région de Lijiang offre des paysages à vous couper le souffle: La Montagne du Dragon de Jade (Yulong Xueshan) et son glacier maritime, le seul de ce genre dans la partie sud de l'hémisphère nord, les Gorges du Saut du Tigre (Hutiaoxia), le lac Lugu, berceau de la société matriarcale des Mosuo, la vieille ville de Lijiang -Dayan-, surnommée "la Venise de l'Orient" par les touristes étrangers. La beauté de ces paysages et les trésors culturels que sont la culture Dongba, la musique classique Naxi, les peintures murales de Baisha et les coutumes uniques des Mosuo, ont attiré des voyageurs du monde entier et en ont fait une destination favorite du tourisme en Chine.
Le dicton dit: "Si vous n'avez pas vu Lijiang, vous n'avez rien vu du Yunnan!". Lijiang invite chaleureusement les visiteurs du monde entier à venir admirer ses magnifiques paysages et découvrir les coutumes ethniques riches et colorées de son peuple.


cf: http://fr.yunnantourism.com/destina/lijiang/lijiang_travel.htm
cf: http://www.tv5.org/TV5Site/dotclear/index.php/Chine-vieille-ville-de-lijiang

lundi 13 octobre 2008

Calendrier TRESORS d'ORIENT 2009


Pour la 2ème année le calendrier "trésors d'Orient" est disponible.


Ce calendrier est réalisé par des parents Canadiens mais réunis des photos d'enfants pas uniquement adoptés en Chine et vivant au Canada.

La moitié des profits est versée à la section canadienne de l'organisme "Half the Sky" , dont le but est d'aider les orphelinats en Chine.
Vous trouverez tous les renseignements et modalités pratiques sur le site ci-dessous
http://www.tresorsdorient.com/

Ni Hao Kai Lan


Tous les mercredis à 7h35 TF1 diffuse ( sur un principe similaire à Dora): "Kai-Lan est une petite fille d'origine chinoise, gai et pleine d'entrain, qui n'attend qu'une chose : partager sa culture avec tous ! Avec elle, les enfants apprennent à parler, et à lire le chinois, à connaitre les traditions, les fêtes, les coutumes et les valeurs. A conjuguer une double culture, Kai-Lan peut aussi compter sur ses fidèles compagnons : un koala, un singe et un tigre, pour l'accompagner dans son monde rempli de fantaisies, de rêves et de rire."

lundi 6 octobre 2008

Sous le soleil, sous le soleil.... de la Côte d'Azur ..... Exactement


En ce début octobre, nous avons passé un très agréable week end sous le soleil de Juan les pins et de Nice.
Ce n'est pas si loin de chez nous et il y fait souvent moins de vent.


Pendant que papa participait à une course à pieds nous nous sommes détendues au soleil.

Comme Nina a grandit....




et le soir venu Nina sait choisir son Cocktail!!!

















jeudi 2 octobre 2008

Ton Histoire d'Amour



"Ton histoire d'amour" est une bande dessinée très belle (cf: "livres pour enfant colonne de droite du blog" ) qui me touche beaucoup.
Ce texte a été offert par l'association Mother's Bridge of Love, par une mère adoptive qui a préféré garder l'anonymat, dessin de Josée Masse, (achat exclusif au Canada).
Ce superbe texte décrit les émotions vécues par une enfant adoptée ainsi que par ses deux mères. La mère naturelle chinoise et la mère adoptive évoluent côte à côte, tout près de la petite, dans ses gènes, dans son cœur et dans sa tête. Deux mères, deux cultures, un seul et même cœur qui vibre à l’unisson pour rendre heureux tous les enfants du monde. Les images très évocatrices colorent cette histoire poétique aux couleurs de l’amour généreux de l’adoption.
Je vous propose le texte de ce superbe livre et deux des dessins qui l'illustre:
Il était une fois deux femmes qui ne se connaissaient pas.
Tu ne te souviens pas de la première.
La deuxième c'est celle que tu appelles maman.
L'une d'elle est devenue ton étoile dans la nuit.
L'autre, le soleil de tes jours.
L'une t'a donné le désir d'être aimée.
L'autre était là pour le combler.
La première t'a offert un corps.
La deuxième t'a montré à jouer.
L'une ta donné des talents.
L'autre t'a aidée à atteindre tes buts.
La première t'a donné un coeur remplit d'émotions.
La deuxième a calmé tes pleurs.
L'une a vu ton premier sourire.
L'autre était là pour essuyer tes larmes.
La première a rêvé pour toi du foyer qu'elle ne pouvait pas t'offrir.
La deuxième rêvait d'avoir un enfant. Grâce à toi, son souhait a été exaucé.
Et maitenant bien sur tu te demandes...
Qui suis-je? Suis-je une enfant d'ici? Ou de là-bas?
Tu es les deux mon trésor.
Tu es le fruit de deux amours réunis...


Octobre 2008: Review Room et LID attribué


En ce debut octobre 2008, le CCAA a fini de reviser (Review Room) les dossiers jusqu'au 28 fevrier 2007 et a attribué les familles ayant une LID jusqu'au 15 fevier 2006.
Notre Looongue Marche vers notre second amour se poursuit...